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CULTURE ET PATRIMOINE

Table des matières

Église de la Transfiguration

L’église de la Transfiguration datée du XVIIIe siècle, est située dans le haut du village, sur un terrain en légère déclivité, bordée au nord par le cimetière. Elle présente un plan allongé à deux nefs et à chevet plat orienté à l’ouest.
La nef principale est couverte d’une voûte d’arêtes et la nef secondaire d’une voûte en plein cintre.
Les murs de l’église sont en moellons à mortier.
L’église est couverte d’un toit à longs pans en bardeau ; la sacristie et la chapelle contigüe sont couvertes d’un toit en appentis, également en bardeau.
La façade principale, à l’est, présente trois ouvertures : la porte, au centre de la façade, une baie cintrée à mi-hauteur éclairant la nef secondaire et une baie dans la partie haute de la façade, légèrement décentrée sur la gauche, éclairant la nef principale.
Contre le chevet, se dresse un clocher de section carrée, couvert d’un toit à quatre pans, également en bardeau.
La façade sud est ouverte par trois baies cintrées et la façade nord par une seule baie également cintrée.
Au fond de la nef se trouve une tribune en charpente à laquelle on accède par un escalier tournant.
L’ensemble de l’église est couvert d’un enduit ocre-jaune et les pilastres de la nef principale d’un enduit ocre-rose, les voûtes sont couvertes d’un enduit blanc.
Le chœur est légèrement surélevé par rapport à la nef : il est accessible par deux marches.
Le sol de la nef principale est en carreaux de ciment blancs et noirs, celui de la nef secondaire, en plancher.
La sacristie forme un appendice au sud de l’église en prolongeant une chapelle, contre la nef principale.
La sacristie est éclairée par deux baies rectangulaires.
Le cimetière est clos de murs en moellons. Il ouvre par une porte sur la place à droite de l’église et par un portail derrière la sacristie.

Chapelle Saint Blaise

La chapelle de la Nativité est mentionnée à partir de 1712 ; en 1718, son état est considéré comme décent ; en 1768, elle est mentionnée sous le vocable de Notre-Dame-des-Lumières et à partir du XIXe siècle sous celui de Saint-Blaise.
La chapelle Saint-Blaise est située au cœur du village. Elle présente un plan rectangulaire. Elle se compose d’une nef à chevet plat orienté couverte d’une fausse voûte en berceau brisé. Les murs de la chapelle sont en moellons à mortier. La chapelle est couverte d’un toit à longs pans en bardeau. Un clocher de section carrée se dresse à l’angle sud-ouest de la chapelle. Le mur occidental est contigu à une maison d’habitation. L’entrée se fait par la façade sud. Elle est légèrement surélevée par rapport au niveau de la rue et se fait par un escalier hors-d’oeuvre droit. Deux baies légèrement cintrées sont ouvertes sur la façade sud. La façade nord est totalement aveugle. Au fond de la nef se trouve une tribune en charpente à laquelle on accède par un escalier droit. Les murs sont couverts d’un enduit blanc à la chaux. Le chœur légèrement surélevé est accessible par deux marches. Le sol est en plancher.

Chapelle du XVIIè siècle, dédiée à Saint Blaise, construite après l’incendie de Villars, en 1680 par les Sardes, patron des Cordeurs et Filateurs, le quartier a pris son nom.
La Saint Blaise est fêtée le 3 février, ce jour-là les gens du quartier, invitaient les parents et les voisins à manger des beignets, fabriqués avec les ingrédients qu’ils avaient à la maison.
Actuellement il y a encore quelques familles qui continuent cette tradition.  Depuis quelques années après la cérémonie religieuse qui consiste à l’apposition des cierges autour du cou pour protéger du mal de gorge,(en effet Saint Blaise avait guéri miraculeusement une personne ayant avalé une arête de poisson), Le Maire invite les participants et la population, à la Rotonde, pour la cérémonie des Vœux et le partage des traditionnels beignets.

Sentier des oratoires

Découvrez les 15 oratoires de la commune à travers un sentier thématique. En partance du pont de la Chasse commencez votre parcours à l’oratoire Saint François. Accessible à tous, d’une durée d’une heure aller-retour, le dénivelé sera de 1.230 à 1300 mètres.
Comme dans tous les villages de Haute Provence, les oratoires de notre petite commune ont joué un rôle important. Les habitants des trois quartiers dépendent de l’Eglise de la Transfiguration et de la Chapelle Saint Blaise.
Il existait encore il y a une centaine d’années, la Chapelle des Pénitents Blancs, proche de la Transfiguration qui eut beaucoup d’importance pour les « gens de Villars ».
Les hommes du pays en grandes robes à capuchons et le visage couvert de cagoules précédaient les processions nombreuses en ces temps passés.
Les derniers pénitents ont disparu, la Chapelle désaffectée est devenue un garage depuis plusieurs années, la cloche ne sonne plus.

Amountagna

Parcourez un sentier de découverte du pastoralisme et de la transhumance dans la vallée du Haut Verdon.
Amountagna signifie « emmontagner » en provençal, c’est à dire monter les troupeaux en alpages.
Au départ du village, 10 panneaux d’interprétation vous communiqueront des informations sur le métier de berger, sur l’élevage ovin, l’entretien des pelouses d’alpages, la prédation, la forêt, la lecture de paysage, la biodiversité, etc.

Deux parcours au choix :
• Au départ de Villars-Colmars le parcours à la journée, soit environ 6 heures de marche et 600 mètres de dénivelé.
• Au départ du hameau de Chasse, pour une demi-journée de marche et environ 300 mètres de dénivelé.
La randonnée suit un ancien sentier de transhumance, et vous conduit à travers la forêt, à plusieurs cabanes de berger qui ont été réhabilités depuis 2006.
Vous traversez des paysages grandioses et les pâturages fleuris ! Ouvrez les yeux et les oreilles, vous surprendrez probablement des animaux, des insectes et bien entendu des moutons qui pâturent tranquillement sur de belles prairies vertes.
Chaque été, a lieu une journée festive (sur réservation) autour du pastoralisme dans la Vallée de Chasse. Cette fête attire chaque année plus de 200 personnes, touristes et locaux.
Tout au long de la randonnée accompagnée, les intervenants apportent un regard différent sur la montagne, les paysages, le pastoralisme, sur l’histoire de la vallée, la biodiversité.
Au détour du sentier, des pauses, des lectures, des interventions, un bain de forêt, mais aussi la rencontre avec le troupeau et le berger, etc. rythment la montée.

Visite annuelle guidée

Chaque été dans la première quinzaine du mois d’août, M. Pierre BONNET vous fera partager sa passion et ses connaissances sur le village de Villars-Colmars à travers sa visite guidée tout au long du village. Il vous apprendra l’histoire des 15 oratoires réhabilités par « les amis des oratoires », vous expliquera l’histoire (et la restauration) de l’Eglise de la Transfiguration ainsi que celle de la Chapelle Saint Blaise. En déambulant il vous fera découvrir le four du Quartier Aco de Gravier, le musée des Miss. Chaque maison sera chargée d’histoires et d’anecdotes.

A l’arrivée au centre village, après une visite d’une durée de 3 heures, (sans traîner). Le pot du réconfort et de l’amitié est offert aux participants avec un nombre croissant chaque année.

Histoire : les grandes dates

Article de M. Pierre BONNET

Un des épisodes marquant le plus l’histoire de ce village est la sécession qu’il fit en 1791 avec Colmars-les-Alpes. Ce qui est aujourd’hui la Commune de Villars-Colmars, et qui était jusqu’à cette date un écart ou un hameau de Colmars. Il fallut des circonstances tragi-comiques pour en arriver là, mais peut-être, depuis longtemps régnait-il une certaine tension entre les deux agglomérations ?
Deux documents des Archives Communales de Colmars relatent cet événement.

Le premier est la copie d’une lettre datée du 27 Octobre 1790 adressée par le Maire (sans doute) aux administrateurs du département.

» Messieurs, nous avons le cœur pénétré de la plus vive douleur de vous donner avis d’une émeute populaire arrivée le 25 courant et qui n’a été apaisée que le lendemain .

La communauté n’ayant fait qu’une très modique récolte, les habitants nous représentèrent qu’il fallait s’assurer du bled de la dixme. Nous comptions de faire rentrer dans un même magasin le bled des différents hameaux.

Le Hameau du Villar, qui a la meilleure qualité, ne voulut en aucune façon laisser sortir le bled pour être mêlé. Le peuple s’émeuta ou menaça de se porter à toute extrémité. «

Naturellement cette affaire fut évoquée à l’Assemblée Administrative du Département (aujourd’hui le Conseil Général) qui par un arrêté du 8 Novembre envoya comme commissaire à Colmars les sieurs Arnaud de Puimoisson et Peyre de Mane.

« Les femmes du hameau du Villar avoient rempli les galeries de pierres pour les jeter sur ceux qui seroient assez hardis d’aller dans les rues pour enlever le bled. Toute la populace de la ville soulevée nous força à demander au Commandant des armes et des munitions et même deux pièces de canon et des boulets « .

Le 18 Novembre les commissaires qui s’étaient adjoint un sieur Roman comme secrétaire, se rendirent à l’Hôtel de Ville où le Conseil Municipal avait été réuni, sous la présidence du sieur Julien, Maire. Le même jour, les enquêteurs se rendent au Villard chez le sieur Pillafort, Officier Municipal, qui est en compagnie de quelques habitants du hameau.
Ils soutiennent tous que le Maire de Colmars avait non seulement refusé du blé à divers particuliers du hameau, mais encore qu’il avait fait remettre secrètement à divers particuliers de Colmars, et que le collecteur avait porté chez le Maire, par son ordre, deux charges du plus beau blé du Villard.

» Il lui avait été ordonné d’en mettre en tas séparément encore quelques charges toujours du plus beau, que ce procédé ayant excité la méfiance des habitants du hameau, ils prirent le sieur Pillafort, Officier Municipal, de témoigner leurs inquiétudes au Maire « .

Mécontents les gens du hameau firent diverses propositions au Conseil. Ces propositions furent toutes rejetées, même lorsqu’elles eurent été réitérées le 24 Octobre par huit députés du Villard envoyés à Colmars.
Plusieurs habitants de Colmars accusèrent le Maire de les » divertir  » et réclamèrent les deux charges qu’il détenait ; devant ces réclamations il les fit rapporter sur le champ.
Comme la population insistait pour qu’on apportât le blé du Villard et s’apprêtait même à aller le prendre de force, cette suggestion fut acceptée et le Maire partit avec huit membres de la municipalité. Étant arrivés au pont du torrent de la Chasse, ils le trouvèrent enlevé par les gens du Villard. Le Maire alors menaça de la main et leur cria :

» Bou, Bou, demain il y aura du carnage ! ».

Le lendemain matin, 25 Octobre, les députés du Villard, voulurent se retirer par la Porte de France. Le nommé Bastéiron, qui » était en sentinelle jetta son chapeau à terre au-devant des députés ; il les coucha en joue et leur dit : qui brûleroit la cervelle au premier qui le dépasseroit «.
Le Maire se vit contraint d’adresser une réquisition au commandant de la Place,
» pour avoir deux pièces de canons, l’attirail nécessaire et des munitions «.
Celui-ci refusa net les canons et dit avec fermeté à ceux qui le » pressoit et le menaçoit  » :

» Messieurs, arrachés moi la vie, vous en êtes les maîtres, mais vous ne me ravirez pas l’honneur «.

Finalement comme la populace menaçait, le Commandant se rendit à condition qu’on lui remettrait une déclaration qu’il avait été contraint à remettre les armes.
Cependant, les députés du Villard qui ne pouvaient toujours sortir de la place prièrent l’un des mutins d’interposer ses bons offices » pour arrêter les malheurs qui menaçoient leur patrie «.
Le sieur Giraud accompagné du sieur Trotabas Officier Municipal se mit aussitôt en campagne. Il se rendit au Villard afin d’engager les habitants à ne pas s’opposer au transport du blé.
Ils le promirent et les deux envoyés commencèrent aussitôt à mesurer le blé et à l’ensacher.
Malgré cette conciliation, la bande armée de Colmars poursuivait l’exécution de ses desseins. Elle se mit en marche vers le Villard, commandée par le secrétaire-greffier Fabre et précédée du Maire » qu’on fit marcher de force «.
Parvenue au bord du torrent, la troupe braqua les canons en direction du hameau, en » tira un à poudre «, puis les chargea tous les deux » à boulets « .  Le sieur Giraud, accourut au bruit, et fit l’impossible pour faire rétrograder les gens armés, en les assurant qu’on allait procéder au transport du blé. Des mulets furent amenés et le blé transporté à Colmars » Il se commit dans le hameau plusieurs actes de violence »
L’un des députés envoyés au chef-lieu avait recouvré la liberté, arriva au Villard. Cependant que la troupe y était encore. S’étant pris de querelle avec un sergent de la Garde Nationale, il le menaça d’un coup de bâton, l’autre lui présenta sa baïonnette ; la partie était inégale celui-ci pris la fuite, mais tandis qu’il courrait le Sergent ordonna à huit hommes de faire feu sur lui, trois d’entre eux tirèrent, et il essuya deux coups de fusil qui le manquèrent.

La servante de l’auberge, par la fenêtre se permit quelques plaintes sur l’enlèvement du blé. On prétend qu’elle lança une pierre, qui n’atteignit personne ; la réponse fut un coup de feu qui la manqua aussi.
La seule annonce de l’arrivée des commissaires du département a produit un effet salutaire dans tout le pays, le peuple a besoin » d’être éclairé « .
Apparemment ces troubles n’eurent pas de suite judiciaire, mais ils n’en laissent pas moins des séquelles qui s’inscrivent aujourd’hui encore dans la carte administrative des Alpes de Haute Provence.
Les habitants du Villard, adressèrent au Directoire du Département une supplique tendant à être constitués en municipalité indépendante.
Quoiqu’il en fût, les choses se stabilisèrent peu à peu et les griefs, les ressentiments de la nouvelle Commune durent s’estomper, puis s’éteindre, puisqu’à son nom définitif, elle adjoignit Colmars : Villars-Colmars.
L’épisode tragi-comique de la guerre d’une journée était oublié !

Le Kiosque DEMONTZEY

Kiosque Demontzey

Une exposition permanente sur le reboisement dans la vallée du Haut Verdon à découvrir tout au long de l’année. Une dizaine de panneaux didactiques avec des représentations et dessins au crayon réalisés par P. Séréna.
Louis Gabriel Prosper Demontzey était un ingénieur français des Eaux et Forêts, né le 21 septembre 1831 à Saint-Dié, mort à Aix-en-Provence le 21 février 1898, un des principaux ingénieurs ayant expérimenté et mis en œuvre les techniques de reboisement en montagne et de la lutte contre l’érosion des torrents. Il est celui qui a donné tout son développement au service de la restauration des terrains en montagne au sein de l’administration des Eaux et Forêts et est responsable du reboisement massif des Alpes du Sud

Création et exposition d‘objet en bois

Zoom sur Henri Courtin, La Passion du Bois

Passionné de bois, Henri passe la plupart de son temps dans son atelier à confectionner toutes sortes d’objets en bois. De jouets pour enfants, aux tableaux, en passant par des boîtes, Henri façonne ses bois avec un seul objectif : les sublimer.

Cette passion du bois est un héritage de famille, « les pères, les grands-pères, les petits-fils, tous étaient bricoleurs » d’après Henri. Même s’il faisait déjà des réalisations en parallèle de ses activités, Henri a pu vraiment assouvir sa passion depuis sa retraite à Villars-Colmars. Au travers de stages, il s’est perfectionné au fil du temps et a su donner une autre dimension à ses créations.

Henri eut un déclic lorsqu’il a commencé à créer des petits jouets en bois pour ses petits-enfants, notamment des toupies, voitures, jouets articulés,… « J’ai fait tous les jouets de mon petit-fils, Felix, il a un vrai musée maintenant ».
Une autre de ses spécialités est l’intarsia. Cet art consiste à découper des pièces en bois puis à les incruster sur un même support afin de créer des images par la juxtaposition des teintes de bois. Henri joue avec les teintes de bois, avec les essences ou par exemple avec le mélèze. Le mélèze, suivant l’altitude, l’âge, le sol, a des teintes différentes et étant donné son veinage exceptionnel, Henri s’applique à accentuer les formes pour lui donner un effet unique.

Enfin, ses plus grands succès sont ses boîtes. Chacune est unique et aucune ne laisse indifférente. On en retrouve de toutes les formes, tonneaux, courbes, classiques, … Henri les façonne selon ses envies et idées du moment.
Henri expose aussi sur des salons, à la Foux d’Allos, la Martre, Châteauneuf-de-Grasse, Plan-d’Aups, Saint-Martin de Vésubie…

Depuis l’été 2020, Il est possible de visiter son exposition personnelle au quartier de tête, prêt du lavoir. Henri se fera un plaisir de vous présenter ses œuvres et d’échanger autour de sa passion.

Retour en Arrière-Pays

Nous vous partageons ici un joli reportage de 55 min sur l’arrière pays niçois avec étapes dans la Vallée du Haut Verdon, dont Villars-Colmars et nos communes voisines.

Vous y retrouvez notamment Mme Ventre et Pierre Bonnet, mémoires intarissables de notre commune.

Un film de Charles Robert qui 40 ans après avoir photographié l’exode rurale dans les montagnes de l’arrière-pays Niçois est revenu demander aux habitants d’aujourd’hui s’ils se souviennent des anciens qui ont posés sur les photos dans les années 1970. Tranches de vies de la France profonde et souvenirs du monde d’avant.

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